la classe: une copine de la grand mère de Nic, elle a 90 ans jours pour jours de plus que Flo!
On la disait de santé fragile : Marie-Claire a
109 ans
14/03/2014 05:38
Née à Montmorillon en 1905, elle est revenue dans sa ville natale l'année
dernière.
Elle n’allait pas à
l’école les jours de mauvais temps pour ménager sa “ petite santé ”. Il faut
croire que ça marche : Marie-Claire a fêté mercredi ses 109 ans.
Une Montmorillonnaise
réputée de santé fragile dans sa jeunesse a fêté mercredi ses 109 ans, à
la maison de retraite la Résidence d'or, à Montmorillon.
La doyenne de la ville
(et du département ?) est très alerte malgré cet âge qui tutoie les actuels
records de France. Elle marchait encore avec l'aide d'un déambulateur l'année
dernière, jusqu'à ce qu'une mauvaise chute ne lui impose le fauteuil roulant.
Mercredi, l'établissement lui avait organisé une petite fête, avec un membre de sa famille, la directrice, l'aide-soignante qui s'occupe d'elle, l'adjointe aux affaires sociales et le maire Yves Bouloux. « C'est une ville facile à gérer Montmorillon, ça va ? » lui a demandé la doyenne, avant de s'autoriser une flûte de champagne et une part de gâteau.
Marie-Claire Brissaud est née à Montmorillon en 1905 (ses parents vivaient à la Ballonnière). Elle a ensuite travaillé à Paris, comme orthophoniste, prenant sa retraite en 1965. « Enfant, j'avais pourtant une petite santé, précise-t-elle lorsqu'on lui parle de son âge exceptionnel. Chétive au point qu'elle n'allait pas à l'école les jours de mauvais temps : « On m'appelait le beau fixe, dit-elle en riant. Je ne pensais pas arriver à cet âge-là. » Les précautions prises tout au long de sa vie pour se ménager ont visiblement produit leurs effets, au-delà de toute espérance. « Elle nous dit souvent qu'IL l'a oubliée » ajoute, en regardant en l'air, Thierry Guérin, un des membres de sa famille.
Jamais mariée, sans enfants, Marie-Claire Brissaud a de nombreux proches dans l'Indre. Elle est revenue dans sa ville natale l'été dernier, après avoir résidé plusieurs années dans un établissement de Montrichard (41).
Mercredi, l'établissement lui avait organisé une petite fête, avec un membre de sa famille, la directrice, l'aide-soignante qui s'occupe d'elle, l'adjointe aux affaires sociales et le maire Yves Bouloux. « C'est une ville facile à gérer Montmorillon, ça va ? » lui a demandé la doyenne, avant de s'autoriser une flûte de champagne et une part de gâteau.
Marie-Claire Brissaud est née à Montmorillon en 1905 (ses parents vivaient à la Ballonnière). Elle a ensuite travaillé à Paris, comme orthophoniste, prenant sa retraite en 1965. « Enfant, j'avais pourtant une petite santé, précise-t-elle lorsqu'on lui parle de son âge exceptionnel. Chétive au point qu'elle n'allait pas à l'école les jours de mauvais temps : « On m'appelait le beau fixe, dit-elle en riant. Je ne pensais pas arriver à cet âge-là. » Les précautions prises tout au long de sa vie pour se ménager ont visiblement produit leurs effets, au-delà de toute espérance. « Elle nous dit souvent qu'IL l'a oubliée » ajoute, en regardant en l'air, Thierry Guérin, un des membres de sa famille.
Jamais mariée, sans enfants, Marie-Claire Brissaud a de nombreux proches dans l'Indre. Elle est revenue dans sa ville natale l'été dernier, après avoir résidé plusieurs années dans un établissement de Montrichard (41).
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